Le même soir c'est carnaval à Puerto Iguazu et nous nous y rendons avec Anne et Emilia. Tous les mômes avaient des bonbonnes de mousse en spray, et Anne et Emilia se sont fait abondamment arroser, moi beaucoup moins. Lors du défilé des différents groupes, la musique était très rythmée et les chorégraphies intéressantes. Dommage que je n'avais pas mon appareil photo.
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depuis la rive brésilienne
Aujourd'hui Anne devait retourner vers Buenos Aires, et je suis donc parti seul pour découvrir les chutes depuis la rive brésilienne de la rivière Iguazu. La visite du côté brésilien est globalement moins intéressante que du côté argentin, mais on peut tout-de-même approcher les chutes du lit principal de la rivière, et ainsi mieux se rendre compte de la puissance générée par la chute d'eau.
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Dans le parc, j'ai pu approcher de nombreux coatis, parfois en famille, qui ne sont pas effarouchés du tout par la présence humaine. En fait, ils sont à l'affût des aliments que les visiteurs pourraient laisser derrière eux. Quelques oiseaux, des lézards de tailles diverses et un mille-pattes de compétition ont complété le tableau animalier de la journée.
un coati
Demain je prends un bus pour Florianopolis, au sud du Brésil. Aujourd'hui c'était donc ma première incursion au Brésil, et je me suis adressé aux douaniers, commerçants et employés du parc en espagnol, par habitude. Je réalise donc qu'il va falloir oublier très rapidement l'espagnol et tout recommencer à zéro dans une nouvelle langue, le portugais.
1 commentaire:
A propos de chutes d'eau, je viens de voir les images des pluies diluviennes à Madeire. Terrible.
Eric
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